Unitarienne Montréalais Sue Montgomery Dans Le Mire De Mouvement Action Justice. . .
L’histoire d’une femme au pouvoir qui accuse injustement un citoyen.
Ici.
Et ici. (PDF)
Voici les premières paragraphes:
La mairesse de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, Mme Sue Montgomery a porté de fausses accusations d’harcèlements criminels à l’encontre de M. Robin Edgar.
En effet, en faisant usage de son statut de mairesse, elle tente de le faire condamner et de mettre fin à ses protestations qui durent depuis plus de vingt ans contre l’église unitarienne de Montréal dont Mme Sue Montgomery fait partie.
Cette affaire nous interpelle. En effet, quand les élus détournent le symbole du pouvoir pour commettre des injustices nous avons le droit de nous interroger sur leur intégrité morale.
Les médias ont relaté l’information qui laisse entendre que Mme Sue Montgomery craignait pour sa vie à cause du harcèlement d’un individu dont elle serait victime depuis 20 ans.
Or, Mme Montgomery n’a porté plainte contre M. Edgar Robin qu’en 2017 et plus précisément un mois après avoir été élue mairesse. Comment expliquer cette inaction si elle était en danger comme elle le prétend?
L’abattage médiatique, photos et textes, nous a montré un citoyen souriant sortant de son procès face à une femme aux traits évasifs, satisfaite d’une décision en sa faveur.
Mis à part cette couverture médiatique, n’existe-t-il pas une autre réalité cachée ?
Aussi, à travers cette tribune, nous vous invitons à découvrir loin de la frénésie médiatique qui les entoure, le véritable visage de Mme Sue Montgomery face à M. Edgar Robin pour comprendre pourquoi elle a décidé de l’accuser et de le trainer dans un procès d’intention où deux poids deux mesures s’affrontent.
Permettez-moi de vous rappeler que Mme Sue Montgomery fut journaliste pour le journal La Gazette. Elle a couvert les affaires juridiques pendant des années avant son entrée en politique. Si elle a choisi de jeter le discrédit sur M. Robin Edgar en portant des intentions inexistantes, c’est qu’elle pense qu’avec son titre et son image, la justice n’a de choix que de le condamner.
Toutefois, est-ce que ces épines venimeuses qu’elle vient de planter avec soin sur le chemin de M. Robin Edgar vont-elles fleurir.
Ici.
Et ici. (PDF)
Voici les premières paragraphes:
La mairesse de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, Mme Sue Montgomery a porté de fausses accusations d’harcèlements criminels à l’encontre de M. Robin Edgar.
En effet, en faisant usage de son statut de mairesse, elle tente de le faire condamner et de mettre fin à ses protestations qui durent depuis plus de vingt ans contre l’église unitarienne de Montréal dont Mme Sue Montgomery fait partie.
Cette affaire nous interpelle. En effet, quand les élus détournent le symbole du pouvoir pour commettre des injustices nous avons le droit de nous interroger sur leur intégrité morale.
Les médias ont relaté l’information qui laisse entendre que Mme Sue Montgomery craignait pour sa vie à cause du harcèlement d’un individu dont elle serait victime depuis 20 ans.
Or, Mme Montgomery n’a porté plainte contre M. Edgar Robin qu’en 2017 et plus précisément un mois après avoir été élue mairesse. Comment expliquer cette inaction si elle était en danger comme elle le prétend?
L’abattage médiatique, photos et textes, nous a montré un citoyen souriant sortant de son procès face à une femme aux traits évasifs, satisfaite d’une décision en sa faveur.
Mis à part cette couverture médiatique, n’existe-t-il pas une autre réalité cachée ?
Aussi, à travers cette tribune, nous vous invitons à découvrir loin de la frénésie médiatique qui les entoure, le véritable visage de Mme Sue Montgomery face à M. Edgar Robin pour comprendre pourquoi elle a décidé de l’accuser et de le trainer dans un procès d’intention où deux poids deux mesures s’affrontent.
Permettez-moi de vous rappeler que Mme Sue Montgomery fut journaliste pour le journal La Gazette. Elle a couvert les affaires juridiques pendant des années avant son entrée en politique. Si elle a choisi de jeter le discrédit sur M. Robin Edgar en portant des intentions inexistantes, c’est qu’elle pense qu’avec son titre et son image, la justice n’a de choix que de le condamner.
Toutefois, est-ce que ces épines venimeuses qu’elle vient de planter avec soin sur le chemin de M. Robin Edgar vont-elles fleurir.
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